
Le goût rance du confinement. Le travail. La flemme. La fatigue.
Le chocolat. Son goût onctueux, délicieux, chaud, fondant, réconfortant, habituel. Comme si rien n’avait changé. « Lève le pied sur le chocolat » m’avait dit le médecin.
Le sport pour compenser. Pas terrible, en intérieur, mais mieux que rien.
Les gâteaux. Délicieux , gras, culpabilisants. « Bon, c’est le dernier » me dit ma mère.
Pourquoi est-ce que j’ai l’impression de manger des cochonneries alors que c’est la crise ?
Azadée

Suite du « Feuilleton des sens » d’Azadée, rédactrice à Veni, Vidi, Valmy, le journal des collégiens de Valmy