

Le gaz russe intéresse beaucoup de pays, notamment d’Europe, comme on l’a dit dans un précédent article. La Russie a aussi une forte agriculture, elle est le 3e producteur de farine au monde. La France investit beaucoup dans le Kremlin, près de 500 entreprises françaises opèrent en Russie et la France est le premier employeur privé du pays, 160 000 salariés y travaillent.
Le gaz
Dans ce contexte de crise ukrainienne, la Russie pourrait bloquer ses exportations. Cela obligerait l’Europe à se passer de l’énergie russe, donc trouver en vitesse de nouvelles sources d’énergie, et peut-être pour créer sa propre énergie, investir dans l’énergie verte.
L’Europe prend déjà des mesures visant à diversifier l’approvisionnement en gaz, ou trouver de nouveau gaz renouvelables, et remplacer le gaz utilisé pour le chauffage et la production d’électricité.
La fabrication de gaz par méthanisation serait peut-être une solution. Même si, pour le moment, seulement 2% de la production de gaz français provient de cette méthode. Ce défi serait tout de même difficile à relever.
Malheureusement, certains pays anticipent un gaz au prix inestimable ou inaccessible, et rouvrent des centrales à charbon (ex : en Italie).
On espère que la transition énergétique sera favorisée et rapidement !
Le prix du blé augmente

En prévision d’une crise alimentaire, l’Europe a notamment décidé d’enlever l’obligation de mettre des terres en jachère (à reposer). Cela réjouit les agriculteurs, mais du côté des écolos, on s’inquiète de l’appauvrissement des sols et d’un potentiel retour à l’agriculture intensive.
Kenzo et Luca S.