Dans ces trois villes il y a beaucoup de mosquées, de cathédrales et même des mosquées-cathédrales ! J’ai visité celle de Cordoue et j’ai appris qu’elle avait été agrandie et modifiée : d’abord c’était une petite mosquée, elle a été agrandie et convertie en cathédrale en 1236 puis encore une fois agrandie avec le jardin qui est avec. Mais pourquoi des mosquées dans ce pays ? Car au VIIIe siècle les Arabes s’installent dans cette région et décident de l’appeler Al-Andalus. En 1492, les Arabes sont définitivement chassés et les Espagnols convertissent les mosquées en cathédrales.
A Cadix, c’était le carnaval. Il y avait des confettis de partout et des gens qui faisaient la fête, qui jouaient des instruments comme du kazoo, un instrument à vent qui (je trouve ) quand on souffle dedans ressemble à un bruit de canard.
Les rues en Andalousie ne ressemblent pas vraiment aux nôtres car les routes pour les voitures sont beaucoup plus grandes et les voies piétonnes le sont aussi. Par contre il y a des mini-chemins et plein de petites places cachées entre les maisons que l’on prend plaisir à découvrir. Je trouve ces villes très agréables aussi parce qu’il y a beaucoup plus de verdure qu’à Paris. En effet, l’Andalousie au climat méditerranéen, débordent d’orangers qu’on ne trouve pas à Paris au climat tempéré, beaucoup moins chaud.
Attention, je conseille de visiter l’Andalousie en cette période car en été il y fait trop chaud !
Ce lundi 20 mars, le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) a publié un nouveau rapport suite à huit années de travaux et de recherches. Ce rapport, dans une période comme la nôtre, devait être très attendu car, on ne peut le nier, la situation climatique (qui est bien sûr due aux actions humaines) laisse à désirer…
Si on résume les faits en chiffres, ce ne sont que 18 pays qui ont réussi à réduire leur consommation énergétique pendant plus de dix ans et ce faible résultat entrainerait une hausse de la température de 2,5°C voire plus en 2100 ! Les conséquences sont déjà visibles et se poursuivront dans les années à venir : on estime que 3,3 à 3,6 milliards d’habitants sont vulnérables au changement climatique. On retient par exemple les insulaires qui ne savent pas comment lutter contre la montée des eaux ou les nombreuses victimes des cyclones. La difficulté pour se nourrir et boire ainsi que la transmission de maladies (et j’en passe) seront de plus en plus grandes. Le comble est que les populations les plus pauvres et qui ont le moins participé au dérèglement climatique sont les premières touchées.
La Terre a battu plusieurs records : le taux de dioxyde de carbone n’a jamais été aussi haut depuis deux millions d’années, idem pour le méthane depuis 800 000 ans ! La hausse du mercure sur les 50 dernières années n’a jamais été aussi rapide depuis 2000 ans (au moins) et, en 2019, ce sont 59 milliards de tonnes de gaz à effet de serre qui ont été libérées à cause de la déforestation et des énergies fossiles !
source franceinfo
Le graphique est en anglais mais pas de panique, tout est visuel (c’est pas bien compliqué de comprendre que quand ça commence à être rouge on est mal…). On voit donc l’évolution de la température par rapport aux années 1900. C’est à partir des années 40 que ça commence en douceur (+0,25 °C) puis de 1980 à 2000 environ, ça s’intensifie un peu… On commence même à atteindre le +1°C… Et en 2020, ça ne s’arrange pas, c’est le début de la fin ! On est dans les +1,5° voire les +1,75°C ! C’est comme la fièvre, quand vous êtes à 39°C, ce ne sont que deux degrés en plus mais ce n’est pas hyper agréable…
Bref, à partir de 2020, cinq scénarios sont possibles. On commence par le pire : si on continue à augmenter nos émissions de gaz à effet de serre et à polluer, en 2060 (on sera à la moitié de notre vie pour les jeunes collégiens !), on atteindrait trois degrés en plus, et au siècle suivant on est probablement pas en super forme… Le deuxième scénario (tout aussi rassurant…) ressemble au premier mais décalé d’une dizaine d’années. Enfin, avec le troisième, en 2100, les +2,75°C sont atteints. C’est pas génial, ça ne fait pas très envie et le dérèglement continuerait après 2100…
Maintenant, positive attitude, on parle du scénario low qui serait pas trop trop mal (si on maintient un bon rythme écolo). En effet on voit qu’en 2100, la température serait à peu près stabilisée depuis 2050 à +1,75°C et pourrait redescendre. Et le dernier serait vraiment idéal (bien qu’il semble irréalisable) : on baisserait tellement notre production de gaz à effet de serre que, après avoir atteint un pic de 1,75°C en plus, la température pourrait avoir diminué de 0,5°C en 2100.
Bon, maintenant il ne reste plus qu’à agir, mais pas de panique : le GIEC nous a préparé un » guide de survie pour l’humanité » dans lequel chaque point a été négocié avec les représentants des pays membres (195 en tout). Voici quelques grands points pour qu’un des deux scénarios » idéaux » soit réalisé :
utiliser au minimum les énergies fossiles lorsque les centrales ne sont pas accompagnées de systèmes pour capter et stocker le dioxyde de carbone
favoriser au maximum la plantation d’arbres et de plantes vertes
utiliser des voitures électriques (électricité bas carbone)
changer son alimentation (limiter la viande car les élevages polluent)
protéger les terres et les océans
augmenter l’investissement dans le climat au niveau économique
atteindre la neutralité carbone avant 2040
Le plus important est d’y croire, la Terre a survécu à deux guerres mondiales et deux bombes nucléaires, pourquoi n’arriverions-nous pas à faire des efforts ?
Cette fois, après le réveil routinier de 7h, pas de voyage mais un rapide transfert de la banlieue de Cardiff jusqu’au centre-ville, pour visiter la capitale du Pays de Galles.
Nous nous séparons par classe et nous visitons le château de Cardiff, ses belles salles de l’époque victorienne et ses fortifications normandes.
Puis super visite guidée du Principality Stadium, le stade situé en plein centre-ville qui accueille les matchs de rugby (notamment certains matchs des Six Nations), mais aussi d’autres évènements sportifs (Champions League) et des concerts. Nous découvrons les suites luxueuses ainsi que les places de la famille royale d’Angleterre. Nous visitons les vestiaires ou se sont assis les plus grandes stars du monde (Ronaldo, Madonna, Beyonce…) ainsi que la salle des conférences de presse !
L’après-midi, initiation au cricket : nous découvrons puis pratiquons ce sport datant du Moyen-Age. Nous visitons aussi le stade de cricket et la salle des médias.
Enfin, (dernier) retour dans les familles où nous préparons nos bagages.
Vendredi
Nous partons vers Portsmouth pour y passer l’après midi. Après un voyage de 3h, nous nous posons dans un restaurant. Fish and Chips pour tout le monde !
Après s’être bien restaurés, nous visitons le HMS Victory, situé à côté du Musée de la Royal Navy, l’authentique navire de l’amiral Nelson à la bataille de Trafalgar ! Puis, un dernier moment shopping et on file dans le car pour prendre le bateau.
Comme il a du retard, nous patientons dans le car et nous quittons finalement les côtes vers 23h pour une traversée qui s’avère difficile pour les personnes ayant le mal de mer, car il y a une tempête et la mer est très agitée. Mais, grâce à quelques camarades solidaires (que je remercie), nous pouvons supporter la traversée et personne n’est mort lorsqu’on arrive à Ouistreham à 6h (heure française) le lendemain.
Samedi
Nous retrouvons la France, la sensation de rouler à droite, de tourner dans le bon sens dans les rond-point… Après 3h de route, nous retrouvons aussi Paris, son animation, ses bouchons (on est habitués), et ses…poubelles☹️. Malgré tout, nous retrouvons nos parents bien fatigués mais avec plein de bons souvenirs !
Kenzo
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Le port de PortsmouthLe vestiaire des joueurs de Rugby galloisLa place où Christiano Ronaldo se tenait au match Real Madrid-JuventusMonument à PortsmouthA l’intérieur du HMS VictoryLe baston normand du château de CardiffL’intérieur de la maison victorienne de CardiffLes hamacs des marins dans le HMS VictoryUn trébuchet médiéval à côté de canons Britanniques de la Seconde Guerre Mondiale Dans la salle des médias du stade de cricketLa place du Prince de Galles sans le Principality StadiumLa Taff, rivière passant par CardiffL’entrée des joueurs La pelouse du Principality StadiumLes vestiges du fort Romain : la porteLe port de PortsmouthLe HMS Victory, de l’extérieurPorte d’entrée du château de CardiffPorte-avion anglais stationné à Portsmouth
*Erratum : dans le jour 2, la mine faisait bien 90m de profondeur, et non pas 40m. Désolé pour cette erreur.
PS : un grand merci aux professeurs qui nous ont accompagnés au long de ce voyage. Un grand merci à Pascal, notre chauffeur (qu’il ne faut pas oublier), qui nous conduisit sur tous nos lieux de visite. On pense à monsieur Essel, qui a effectué son dernier voyage linguistique.
Le printemps des poètes est de retour ! Comme chaque année, pendant 16 jours, du 11 au 27 mars cette année, on fête le Printemps des poètes.
Chaque année, il y a un thème différent, cette année c’est Frontières qui a été retenu, l’année dernière c’était L’éphémère.
Le Printemps des poètes sert à célébrer le printemps en poésie. Tous les élèves, de la maternelle au lycée, sont concernés et cela vise à sensibiliser les élèves à la poésie et à encourager la lecture des poèmes comme pratique culturelle.
L’année dernière j’ai eu la chance de participer au printemps des poètes avec ma classe : on a écrit des haïkus (poèmes japonais d’une seule strophe constitué de trois vers) qu’on a illustrés avec le professeur de dessin puis que l’on a récités aux autres classe, et nous avons, bien sûr, découvert beaucoup de haïkus en lecture.
Grâce à Mme Josserand, le CDI est décoré avec des guirlandes composées de grues en origamis, des affiches du thème de cette année, mais surtout plein de poèmes et des poèmes illustrés.
Il y a aussi des pioches à poèmes (on peut piocher un petit poème surprise), des livres de poésie du CDI et sur les tables nous pouvons lire des poèmes sur le thème « Frontières » et d’autres poèmes plus connus.
J’aime beaucoup le projet du Printemps des poètes car cela permet de découvrir de nouveaux poèmes, de nouveaux poètes…
Pour les futurs poètes, la RATP organise justement un concours de poésie auquel je participe chaque année. Les 100 meilleurs poètes ont un petit cadeau et ils sont convoqués dans une salle pour découvrir qui sont les 10 premiers de chaque catégorie qui remporte un cadeau en plus. Moi j’ai toujours fini dans les 100 premiers mais jamais dans les dix premiers. Si vous voulez, je peux vous donner à lire mes poèmes des années précédentes.
Kylian Mbappé lors de la Coupe du Monde 2018 / Эдгар Брещанов, CC BY-SA 3.0 GFDL, via Wikimedia Commons
Didier Deschamps a nommé Kylian Mbappé comme nouveau capitaine de l’équipe nationale le lundi 20 mars. Il l’a annoncé à Clairefontaine.
Nous trouvons que cette nomination est logique car c’est incontestablement un très grand joueur. En effet, il a marqué un triplé en finale de Coupe du monde face à l’Argentine cette année et il avait déjà gagné la Coupe du monde avec l’équipe de France en 2018. Selon nous, il a quand même du charisme. Il a réussi notamment à redonner espoir lors de la finale de la Coupe du monde, en parlant à toute l’équipe à la mi-temps.
Mais c’est un coup dur pour Griezmann ! Car non seulement il était dans les favoris mais il a aussi bien plus d’expérience. Comme lot de consolation, il a été nommé vice-capitaine !
Nous, on comprend et on préfère quand même que ce soit Mbappé : il a réussi un exploit incroyable avec ce triplé dans un temps record en finale de Coupe du monde. Comparé à lui, Griezmann a fait, certes, une bonne Coupe mais il ne s’est vraiment pas distingué en finale.
Il n’aura pas été le seul capitaine et aura succédé à Hugo Lloris (qui l’a été à 23 ans), Michel Platini (à 24 ans), Didier Deschamps (à 25 ans), Marcel Desailly (à 26 ans), Zinédine Zidane (à 30 ans). Kylian Mbappé devient capitaine à 24 ans. Bravo à lui. On attend de voir s’il sera un bon capitaine.
Avez-vous déjà utilisé un casque de réalité virtuelle ? Il est probable que votre réponse soit positive, cependant, vous n’êtes pas près de tester celui là…
L’histoire démarre le dimanche 6 novembre, lorsque le créateur de l' »oculus rift », Palmer Luckey, nous dévoile sa nouvelle invention : un casque VR capable d’exploser votre cerveau !
Non on ne blague pas. Palmer prévient directement les futurs acheteurs: « If you die in the game, you die in real life »= Si vous mourez dans le jeu, vous mourez dans la vraie vie.
Il explique que son tout nouveau joujou (à tenir à portée des enfants) est un hommage au manga Sword Art Online. D’ailleurs, l’action du manga débute également le 6 novembre 2022… Et ce n’est sûrement pas une coïncidence !
Le principe de ce casque est simple : tout comme dans le manga, si vous perdez, le casque vous tue instantanément ! Bien que le manga a une logique un petit peu douteuse (lorsqu’on se connecte au jeu une partie de notre âme y entre et on meurt dans la réalité si on meurt dans le jeu), ce casque est beaucoup plus radical. C’est à dire que trois modules de charges explosives sont prêts à tout moment durant votre partie pour vous faire exploser la tête.
Autrement dit, si vous mourrez dans un jeu, une lumière rouge clignote à une fréquence spécifique et les charges explosent. Le cerveau du joueur est instantanément détruit…
D’après Lebigdata sur son blog, Palmer Luckey explique que « l’idée de lier votre vie réelle à votre avatar virtuel m’a toujours fasciné – ceci augmente instantanément l’enjeu à son niveau maximum, et force les gens à repenser fondamentalement comment ils interagissent avec le monde virtuel et les joueurs à l’intérieur ».
Et ce n’est pas le pire, ce milliardaire a également prévu de créer un casque qu’on ne pourra pas enlever avant d’avoir terminé la partie ! Car dans la version déjà mise au point, le casque peut être enlevé à n’importe quel moment, ce qui ne convient pas à son créateur.
Ornithorynque n°2
News !
Le 15/04/22 on a fêté les 10 ans de L’Oculus rift. Son créateur nous apprend « Cette année est également le bon moment pour enfin dévoiler certaines technologies VR dont je n’ai pas pu parler pour diverses raisons.« . Pouvons nous espérer quelques nouvelles informations avant son 11eme anniversaire ?
Aujourd’hui nous avons pris le car vers 8h, direction Bristol, ses monuments, mais surtout son histoire liées à la traite négrière.
Après un réveil à 7h, nous récupérons tout le monde pour un transfert d’une heure jusqu’à Bristol. Bristol est située dans l’Est de l’Angleterre, quasiment en Cornouailles. C’est une ville anglaise, contrairement à Cardiff qui est au Pays de Galles.
Nous arrivons sur place et nous sommes accueillis par des guides qui nous emmènent faire un tour dans la ville en expliquant l’histoire de chaque monument.
Puis déjeuner à 12h : sandwich et chips pour la plupart. Nous nous rendons sur les docks du port de la ville et nous bénéficions d’un temps libre.
La plupart s’installent dans un café et sirotent leur soda ou chocolat chaud. On flâne aussi sur les docks, sur les anciens chemin de fer…
Puis visite du M Shed, littéralement Musée Entrepôt, pour un sujet plus sérieux : la traite des noirs, durant l’époque classique (17e et 18e siècle).
Puis nous disposons à nouveau de temps libre pour du shopping dans un centre commercial cette fois. Nous achetons des souvenirs pour les familles, ou prenons un goûter…